Modèle Scientifique du Procès Electoral.

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Introduction.

La définition de la démocratie électorale est la représentation d'un individu dans la communauté. Examinons quelques-uns des modèles qui nous sont disponibles.

La modèle classique de la démocratie dans l'état-cité on chaque individu devait servir comme son propre représentant est un exemple d'un modèle à grande échelle ( dans le rapport 1 à 1 ) sur une échelle dont on se servirait pour mesurer les démocraties électorales. A l'autre baut de cette échelle se trouve l'exemple où le président est choisi pour représenter la communauté entière, un individu capable d'une action indivisée, et donc, naturellement la tête d'un exécutif. Entre ces deux extrêmes les assemblées représentatives à des niveaux locales, regionales, nationaux on ceux d'un gouvernement fédéral nous offreit d'autres modèles de democratie qui fonctionnent, pourvu que les élections elles-mêmes soient une représentation effective des voeux des peuples.

Cet article considère les divers modèles disponibles pour mettre en oeuvre l'efficacité d'une représentation pareille.

Une mesure de représentation

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L'échelle nominale: le vote 'X'.

On pouvrait considérer le problème de la représentation comme va problème scientifique de mesure. Pour cela, il y a à notre disposition quatre échelles possibles pour mesurer la représentation.
L'échelle classifiée ou nominale, l'échelle ordinale, l'échelle à intervalles, et l'échelle à raison.

On pourrait dire que le suffrage universel avec un seul vote pour chaque électeur représente nominalement le corps électoral entier. Mais puisqu'on devrait permettre à un vote, ainsi qu' à un désir, la possibilité de se réaliser, le 'X' ( ou la tache qui marque le vote 'X' ) ne fait rien que garantir une majorité démocratique décisive de plus de la moitié des votants pour un des deux candidats, le choix minimum possible, montrant ainsi qu' 'élir' veut dire litéralement 'choisir'. Ce qui accorde une seule préférence en faveut d'un seul candidat est la plus simple et la plus limitée des élections.


L'échelle ordinale : le vote alternatif.

Lorsqu'on aspire à un vote plus étendu que celui entre deux candidats, le vote 'X' nous pose devant un dilemme; ou bien il faut renoncer au vote de première préférence en votant discrètement pour le moins désagreable des deux principaux contestants ou bien il faut voir notre vote partagé.

La méthode scientifique exige que nous comprenions dans une expérience un contrôle analytique des contingences pour que celles-ci à obscureissent pas la lois d'une majorité compréhensive des résultats expérimentaux. Le but de notre contrôle, dans un traitement scientifique de ce procédé de voter, est l'importance relative de l'influence des divers candidats sur la détermination d'une majorité démocratique.

Le suffrage électoral démocratique est, en effet, l'équivalent du contrôle expérimental du savant. L'échelle ordinale exempte le public, de la contrainte d'enregistrer une seule préférence, en fournissant une capacité plus éntendue de mesure par moyer d'un vote qui comprend une multiplicité de préférences pour des candidats ( où l'ordre du choix est numéroté 1, 2, 3, etc ). Cela s'appelle généralement 'voter par ordre de préférence'.

En France, celle échelle ordinale reduit le second scrutin et ceux qui suivant à une série d'étages dans un dépouillement qui élimine les candidats gagnant les moindres votes par ordre de préférence et repartit de nouveau les préférences suivantes jusqu' à ce qu' un des candidats qui restent gagne une majorité absolue.
Churchill appelant cela 'les pires votes pour les pires candidats.'


L'échelle à intervalles ( supposée ): La méthode de Borda.

Dissemblable au dépouillement simplement éliminatoire, il est possible d'employer de toutes les informations fournies par les votes par ordre de préférence, traitant toutes les préférences de quelque manière étalon mathématique.

Un tel traitement, appelé la méthode Borda, ( 1770 ) assigne un 'poids' à chaque préférence donnée ayant rapport à son ordre d'importance. Cela se fait en se servant des séries harmoniques 1/1, 1/2, 1/3 etc pour les premières, secondes, troisièmes etc préférences respectivement.

Il est peu probable que l'intensité du sentiment des voteurs pour les candidats se relâche à vrai dire précisément à ces voteurs.
Mais, il est probable que la série arithmétique accentue trop et que la série géométrique n'accentue pas assez les préférences ultérieures à mesure que le nombre de candidats augmente.

L'échelle Intervalle ( réelle ): Les Règles Sénatoriales.

Un autre traitement, des informations tirées des préférences, assigne une valeur numérique aux préférences en forme des 'poids' des intervalles, comme, par exemple, lorsqu' on tient compte du nombre d'articles dans chaque catégorie d'un ordre arrangé en tableaux de données statistiques pour arriver à une moyenne rationale.

Cette approche, connue sous le nom de 'La méthode de Gregory ( 1880 ) ou dans les pays du Commonwealth, 'Les règles sénatoriales', déclare que le nombre de votes pour un candidat qui gagne juste le nombre qu'il en faut pour l'élir ( premier à l'arrivée ) est un surplus de votes autrement superflus. Et puisque tous aux, qui ont voté pour le candidat élu, ont également le droit de partager à ce surplus transférable, leurs préférences suivantes reçoivent un 'poids' convenable.

Ce que devrait être ce 'poids' est mieux expliqué par l'exemple suivant. Supposé qu' un candidat ait besoin de cinquante-et-un votes, pour être élu, mais qu' en effet il en a reçu soixante-huit -- surplus de dix-sept votes. Puisque ce traitement considère que tous les soixante-huit sont transférables à la prochaine préférence du voteur, la question se pose du 'poids' convenable qu' il faut employer dans ce transfert, c'est à dire la soi-disant valeur de transfert des votes.

La règle déclare que la division du nombre de votes en surplus, par le nombre total des votes, vous donne le facteur du 'poids', c-à-d 17/68. Ainsi, chacun des 68 votes est puissant pour des raisons de transfert par 17/68; ou bien on pourrait dire qu' ils ont chacun une valeur de transfert d'un quart de vote.

Churchill aurait pu observer qu' une telle votation transférable veut dire 'les meilleurs votes pour les meilleurs candidats' tirés d'un bon choix dans des collèges multi-membres.


Le rapport de l'échelle: La quote-part Droop.

Ce que Churchill a dit en effet était qu' il préférerait être un cinquième des représentants de la cité entière de Leeds que d'être un seul représentant d'un cinquième de Leeds.

Celle représentation proportionale fonctionne sur une progression d'un candidat élu seulement lorsqu' il a gagné une majorité décisive de plus de la moitié des votes.
Deux candidats peuvent être élus sur des quotes-parts d'un peu plus d'un tiers des votes chacun, pour une représentation proportionale ( RP ) de deux tiers des votes dans le collège électoral.
Trois sièges ont des quotes-parts électives d'un peu plus d'un quart des votes chacun, représentant proportionellement trois quarts des voteurs. Et ainsi de suite.

Celle rationalisation de la représentation est connu sous le nom du 'quote-part Droop' ( 1869 ). Les votes, en surplus d'une quote-part, sont transférables selon les règles sénatoriales. Alors, les votes pour les candidats moins heureax, qui seraient autrement perdus, sont transférés à leurs prochaines préférences, pour compléter les quotes-parts, parmi les candidats qui se font toujours concurrence pour les sièges qui restent dans le collège électoral.

Les quatre règles de mesure généralement acceptées, comme elles sont représentées dans une progression logique, par: ( 1 ) un vote par personne ( 2) de préférence ( 3 ) transférables en tant que surplus et que déficits de ( 4 ) quote-part Droop, font ensemble un système électoral appelé le scrutin transférable ( ST; en anglais, 'STV: single transferable vote' ) qui est, par conséquent, un modèle électoral de mesure.


La théorie et l'expérience du modèle de mesure ST ( ou STV ).

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La majorité d'un membre est, par exemple, au moins 51 votes sur 100. Mais deux votes de 51 chacun sur 150 constitueraient les majorités de deux membres, puisque nul autre candidat ne pourrait avoir plus de 48 votes. 51 votes à chacun sur 200 votes élisent trois membres avec des majorités sur n'importe quel autre candidat. Et ainsi de suite.

Le dépouillement majoritaire d'un seul membre est géneralisé sous le concept d'un dépouillement majoritaire multi-membres, ce qui comporte plus de représentation pour les groupes d'opinion d'une importance relativement majeure dans l'électorat.
Les majorités sont relatives et le choix est relatif, en ce que nous favorisons quelques candidats par rapport à des autres.

Albert Einstein ( Ideas and Opinions ) préférant la Relativité, comme théorie principale, faisant des déductions logiques sur une base ferme et empirique, que le mouvement est relatif à un système co-ordonnée. Le ST ( ou STV ) est un système co-ordonné du vote au dépouillement, dans un ordre de préférence empirique 1, 2, 3,.. à l'ordre rational de 1, 2, 3,.. membres majoritaires. Il est axiomatique à la théorie des élections que le dépouillement doit être conforme au vote.

Le scrutin transférable est une généralisation théoriquement compatible avec un vote d'une seul préférence pour un dépouillement d'un membre majoritaire au vote multi-préférences pour un dépouillement des multi-membres majoritaires.


Le système d'un seul membre majoritaire est un vote nominale par personne avec un dépouillement à intervalles ( premier à l'arrivée ). Le scrutin transférable est un modèle pour l'échelle ordinale en qualité de contrôle expérimental pour l'échelle nominale, et l'échelle à raison en contrôle pour l'échelle à intervalles.

Car, l'expérience électorale, ou bien l'épreuve du choix public, demande à la fois un vote de préférence pour contrôler le choix relatif et une quote-part pour contrôler les majorités relatives.
Harré caractérise la construction de modéles par son adaptation graduelle à la réalité, en ce cas, la réalité d'une relativité générale de choix.


Les systèmes partisans.

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D'autres méthodes de votation ont une tendance à faire un absolu des divisions entre les partis ( politiques ) au dépens de la représentation individuelle et l'unité de la communauté.
David Hume and Karl Popper diraient que la votation par corps constitué pour un 'parti', sans référence empirique bien déterminé à des individus, est 'métaphysique' ou bien 'au dehors du royaume du discours scientifique', parce que les partis politiques n'existent pas à part leurs membres individuels.

C'est l'identité, logiquement fausse, d'un membre avec sa classe, puisque pour un candidat qui est membre d'un parti politique voter ne comporte pas nécessairement son appui absolu ( sans conditions ) pour ( quelqu' autre candidat dans ) son parti.

Le résultat se trouve dans les sophisms des manuels qui supposent vrai ce qui est en question dans le sectarisme -- par exemple: pour un 'argument circulaire'; de la 'conclusion prévue'; par une 'attribution injustifiée d'opinion'; qui 'nie antécédent' du choix individuel; avec des 'termes ambigus' de votation, pour la valeur personnelle d'un candidat ou pour aider son parti à former un gouvernement.

La théorie de doit pas présumer ce qu'on essaie de prouver, ce qui est le Rationalisme, et l'expérience ne doit permettre aucune ambiguité dans le résultat, ce qui l'Empirisme. Le système d'un membre unique est empiriste, puisque les principes sont trop vagues, au point même où ils cherchent des faits sans savoir pourquoi.

Des millions de votes sont inutiles, lorsqu' il y a des surplus superflus d'une quote-part implicite, parce que le 'premier à l'arrivée' n'est pas un dépouillement rational. Le principe de collèges électoraux égaux, pour établir la représentation égale, que demande le suffrage universel, est la forme la plus limitée de la représentation proportionelle, c'est à dire, entre collèges où il n y a qu'un seul membre.
Il n'y a aucune raison logique pour la quelle le principe de votes égaux s'arrête à ce point particulier de sa réalisation.

Mais un dogmatique 'a priori' ou un Rationalisme 'avant les faits' est critiqué parce qu' il considère ses assomptions comme admises. Les scrutins de recherches révèlent une diminution de la popularité des partis politiques.


Le système de membres additionels: SMA ( ou AMS: additional member system ).

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SMA ne remplit pas les conditions exigées par Basson et O'Connor ( Symbolic Logic ) qu'un système théorique ait des séries d'axiomes et de dérivations en conformité les unes avec les autres.
La représentation proportionelle implique des collèges à multi-membres. Au lieu de cela, des membres additionels ad hoc sont censés donner de la proportion à un système à membre unique, ce qui ne réussit pas à établir ni l'un ni l'autre.

En vérité, SMA aurait besoin de 12 collèges britanniques multi-membres, d'où la somme totale des votes des partis, dans chaque région, déciderait si elles avaient, ou non, le droit de membres additionels, parmi les candidats les plus heureaux, second ou troisième 'à l'arrivée', dans les collèges des membres 'uniques'( ! )

Les membres additionels ne seraient pas en représentation proportionelle avec les 'premiers à l'arrivée'. Et les collèges, ayant des membres additionels, seraient représentés d'une façon disproportionnée avec ceux qui n'en auraient pas.

En effet, SMA serait presque douze fois plus 'eloigné' que les quelques 142 collèges multi-membres rédigés pour le scrutin transférable, en Angleterre.

SMA serait moins 'éloigné' dans sa limitation du choix qui déciderait quel parti politique aurait un représentant unique dans un collège électoral et, par consequent, un monopole d'influence.

SMA s'accorde avec le critérium de Carl Hempel ( Philosophy of Natural Science ) d'une hypothèse 'ad hoc' rien que pour préserver quelque conception courante contre de l'évidence adverse, en ce cas sans augmenter nos connaissances de l'opinion publique, et sans fournir une épreuve nouvelle et plus distinctive du choix personnel.


'Le Double Vote'

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Mis à l'épreuve, 'Le Double Vote' ne réussit pas de même que SMA ne réussit pas théoriquement. En 1953, L'Allemagne de l'Ouest essayèrent des élections plus analytiques. Ils publièrent des listes de partis des membres additionels, avec un second vote 'X' pour le choix du parti, pour libérer le premier vote X, dans les collèges aux membres uniques, en vote personnel.

Pourtant, les conditions d'épreuve contrôlées se contrarient toujours. Un premier vote personnel ne tient aucun compli des considérations de parti, tandis que le choix personnel des votes de parti n'est pas reconnu, puisque la comité exige que l'élection soit faite du haut jusqu' en bas, dans la mesure que le total vote de parti leur accorde plus de sièges qu'ils n'ont déjà gagnés dans les collèges aux membres uniques.

SMA ou le double vote réduirant en fragments les collèges britanniques ( ou français ) en reduisant leur nombre, pour faire place à des membres ( additionels ) de liste, dans les chambres du Parlement.

Chaque comité locale réformé préempterait, dans une large mesure, l'élection, par la résélection d'un seul candidat, pour moins collèges du membre unique.

Mais ST ( le scrutin transférable ) pourrait convenablement faire joindre les collèges à membre unique pour en former des collèges multi-membres, sans qu'aucun membre doire retirer sa candidature, jusqu' à ce qu'ils soient vaincus dans une élection générale.

Lorsqu' il y a des mouvements de population, il n' y a pas besoin de faire des changements de bornes, il faut seulement rajuster le nombre de sièges dans le collège.
Par conséquent, le scrutin transférable est une meilleure théorie, puisqu' elle est une mesure des faits plus convenables et plus exactes.


La votation de parti dans les comités et pour les 'premiers à l'arrivée'.

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Les instructions électorales pour une liste de parti se rédivisent à cela: vous avez un vote pour une liste de parti; vous pouvez placer votre vote contre un seul candidat sur cette liste; par consequent, votre vote sert à élir n'importe quel candidat sur cette liste.

Cela est le faux raisonnement du 'majeur illicite' dans le syllogisme, où un terme majeure est employé illégitement dans la conclusion.

Quelque fois l'ordre général des préférences pour une liste de candidats est rédigé par une comité, plutôt que par le public en général. Où bien, chaque parti assigne sa part des sièges aux candidats 'premiers à l'arrivée' sur les listes, sans se soucier du partage des votes.

Dans chacun de ces cas un vote de préférence 'X' particulier, plutôt qu'un vote de préférence générale ( 1, 2, 3,.. ), ne réussit pas à donner l'explication générale que cherchent les sciences. Et cela aussi manque d'offrir le choix effectif que cherche la démocratie.

Tous les systèmes de sectarisme proportionel se trouvert fort embarrassés par le choix de comité ou le vote partagé fortuit.
Par exemple ( en 1981 ), l'Israel et la Guyane se servent de liste préparées par une comité, tandis que la Finlande et la Suisse optent pour des majorités, sans 'contrôle' scientifique, sur les listes. La Belgique favorise le système de l'Israel et de la Guyane, et les Pays Bas celui de la Suisse. L'Italie et le Luxembourg permittent au public d'être enfermé complètement dans le dilemme. Le Danemarc aussi offre les deux options à un parti.

Les listes de parti fournissent un contrôle en dehors du parti pour maintenir la balance politique. Mais sans des conditions contrôlées de préférence proportionelles intra-partis et à travers partis, l'importance relative des divisions entre les partis, dans le contexte de la mesure de l'unité nationale faite par la liberté individuelle, reste inconnu.
Voilà pourquoi la représentation par le scrutin transférable ( ou 'Super-vote' ) est un analyse supérieure.


Le pouvoir explicatif du scrutin transférable ( ST ).

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Les effets du ST sont:

( 1 ) La représentation proportionelle ( RP ) entre les partis.

( 2 )Un vote de préférence, entre plusiers candidats, du même parti, qui se présentent dans un collège multi-membre, exécute soi-disant 'primaries', en anglais.

( 3 ) Le ST préfère quels partis forme une coalition, si nul parti ne gagne une majorité; et aussi le ST donne la stabilité politique d'un gouvernement majoritaire, décisif et populaire.

( 4 )Référenda, en préférant une série de candidats de partis différents, et certains Indépendants, lorsqu' il s'agit de questions qui sont d'une importance non-sectaire.
Le ST réglemente le degré d'indépendance ou d'unité de parti entre les candidats.

Ni le 'premier à l'arrivée' ni le sectarisme proportionnel répond bien é ces conditions préalables pour les élections démocratiques. Les avantages du scrutin transférable se présentent en effet comme un modèle de représentation effective.


Tenant compte de tous ce points jetons un coup d'oeil sur quelques pays ( en 1981 ):

Le système 'premier à l'arrivée', dans l'USA, attaque la stabilité et l'égalité avec son parti unique au sud, ses truquages électoraux ( soi-disant 'gerrymandering,' 'affirmatif' ou non ), et ses corruptions à la Tammany Hall, et comme suite.
ST ( 'STV' ) débarrassait la Grande-Bretagne de la domination de deux partis extrêmes.
La France aurait plus de flexibilité dans ces options à travers partis.
Les Allemands pourraient préférer leurs propres coalitions. Et les Italiens et les Belges pourraient effectivement déterminer pour une période le caractère et l'aspect de leur gouvernement.

Le ST, avec les collèges multi-membres, pourrait dépasser les bornes de n'importe quelles divisions soit que celles-ci s'endureissent à cause de questions de race, de tribu, de sectarisme ou de classe.
Le ST pourrait aussi dépasser les bornes du sectarisme proportionelle qui réduit les partis en fragments en Israel et dans les pays européens tel que les Pays Bas. La Suisse pourront donner une expression électorale, aussi bien qu' exécutif, a son unité.




Note from translator

I have done this work in a great hurry and am being pressed to hand it over without careful checking and without typing. There are several phrases I have 'coined' such as 'listage' for 'weighting' votes, and 'le vote unique transférable'. There must be a correct term for these. I am reluctant to hand it over but apparently speed is of extreme importance.

L. Brown, M.A., Dip. Ed.

( The article had to meet a deadline but was not used.
The correct French phrase for the single transferable vote is 'le scrutin transférable', which I've substituted in Mr Brown's translation. He initially employed 'poids' for 'weight', which I've retained, in inverted commas, as less misleading than 'listage'. )


Richard Lung

Copyright © UNESCO. ( 1981 )



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